Habiter, c’est parler d’usages
C’est à partir du logement et des manières d’habiter que nous souhaitons développer une architecture unique au quartier. Notre volonté, c’est avant tout proposer des logements avec des qualités singulières, spécifiques ; faire des usages une esthétique architecturale.
Habiter, c’est parler du temps
Quand le travail, les loisirs et la structure familiale deviennent nomades, le logement doit s’adapter à la mixité des usages. Plus que des logements familiaux, nous vous proposons des habitats singuliers et évolutifs. La vie, la famille, le travail… Aujourd’hui, rien n’est linéaire. Parce que les aspirations sont évolutives, imprévisibles, nous offrons une enveloppe fédératrice, protectrice. Un lieu de vie à réactualiser ou réaménager à loisir car le logement est avant tout espace de liberté. Nous proposons des habitations qui démultiplient les possibilités d’usages et permettent de s’adapter à l’évolution des modes de vie des habitants. Aussi, dès la conception du projet nous offrons des options pour customiser son logement et l’adapter à un mode de vie propre à chacun des habitants. Les options et adaptations seront prévues dès l’élaboration du projet afin de garantir l’intégrité du bâtiment et la préservation du bien collectif. L’ensemble des travaux propres à chacun sera non seulement intégré dans une logique collective pour la copropriété mais aussi inclus dans une logique urbaine pour une image architecturale plus homogène et cohérente.
« C’est bien à partir du logement et des modes d’habiter qu’une architecture spécifique sera imaginée. »
Le logement espace de liberté
La question n’est pas simplement de se loger mais aussi de dresser des passerelles entre son espace privatif et les espaces partagés, de générer de l’attachement entre les habitants et leur résidence, de créer une histoire singulière que chacun pourra s’attribuer, de proposer des services, des espaces complémentaires aux logements. Des volumes généreux, des espaces qui rassemblent, pour des résidences qui respectent l’intimité de chacun tout en proposant une vie collective, des espaces d’échanges et de rencontres ; des terrasses ou jardin partagées, un lavoir, des chambres d’amis, une salle de sport.
Évolutivité
Ici le rigide se conjuguera avec le flexible, avec l’ambition de conjuguer calme et activité, campagne et ville, échanges et secrets. Autant de situations quotidiennes magnifiques parce que contradictoires.
Des surfaces à géométries variables
La vie n’est pas linéaire, aussi l’habitat doit‐il se transformer aux rythmes des évolutions de chacun. Nous travaillerons sur des logements qui puissent bénéficier d’un double accès. Il permettra d’habiter, de cohabiter, ou encore de bénéficier d’un espace de travail indépendant. Il s’agit de pouvoir jouir d’un bureau ou une chambre pour un étudiant, une pièce supplémentaire indépendante pour une adolescence prolongée ou accueillir un parent ou de la famille ; il importe de redéfinir des spatialités pour des familles recomposées, redimensionner la surface habitable pour la retraite en s’assurant un revenu complémentaire via l’accueil d’un étudiant, d’un touriste ou d’un garde‐malade.
Que des espaces nobles
Pas d’espaces secondaires ou de moments de vie à mettre entre parenthèses. Un espace déqualifié, c’est du temps dévalué. Aussi le parking sera un hall d’entrée, les poubelles à l’avant, les halls seront des jardins, dans la cuisine entrera la lumière, les salles de bain généreuses. Le domestique n’est pas le valet des pièces dites principales (espace servi versus espace servant), mais un lieu de vie à part entière.
C’est bien à partir du logement et des modes d’habiter qu’une architecture spécifique sera imaginée. »
— Emmanuel Combarel
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